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Revue de presse

On parle d'Alice


Très belle chronique de Jean-Paul Vialard

" Ici, la Narratrice nous invite à faire un voyage en nous qui, en même temps, sera voyage hors de nous. Ou, ce qui revient au même, voyage en elle, hors d’elle. Car un nécessaire processus d’identification relie le Voyeur de l’œuvre à celle qui en a été l’initiatrice. De quel roman s’agit-il donc ? D’un roman de formation tel le « Wilhelm Meister » de Goethe où le héros de la narration doit faire l’apprentissage de la vie, évitant autant que faire se peut de chuter dans les ornières, de connaître les culs-de-basses-fosses, autrement dit de cheminer au bord du Néant sans se précipiter dans l’abîme ? Ou bien alors, toujours dans le même sillon goethéen, serait-il question plutôt d’une identique tragédie à laquelle le « Jeune Werther » se heurte dans le roman éponyme, choisissant la mort plutôt que d’endurer un amour malheureux ? etc."

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Chronique de Jacques Lucchesi (éditeur, journaliste et écrivain)


"Si le malaise de la jeunesse n'est pas un thème nouveau dans la littérature – il suffit de songer à Musset et à sa Confession d'un enfant du siècle -, le XXeme siècle, en érigeant en classe sociale ce qui n'était alors qu'une classe d'âge, lui a donné un formidable coup d'accélérateur. Là dessus le cinéma est venu dédoubler le témoignage des écrivains, s'inspirant souvent de leur univers, amplifiant la portée de leur voix, créant des stars sur mesure – tel James Dean – pour un public d'adolescents de plus en plus important. [...]"

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Chronique de Sophie Casadepax

"Dès le début, je suis intriguée. Autant par le ton du récit, sa mise en œuvre que par le mystère qui rôde en ces pages. [...]"



Avis de Céline Mangin (secteur du journalisme) :

"Je souhaitais partager mon avis sur l’ouvrage “Alice aux petites balles perdues” 

Alice est une adolescente atypique, mal dans sa peau, perdue au cœur d’une génération qui la rejette autant qu’elle-même la maudit. Une génération flirtant avec la démesure dans laquelle elle ne se reconnaît pas, mais qui va pourtant l’influencer et devenir témoin passif de sa mise en danger. S’exprimant dans un langage familier, parfois cru, la narratrice raconte sa laborieuse mue vers l'âge d’adulte, ses tiraillements intérieurs, ses déchirantes tragédies, son obsession de connaître l’amour véritable. Et son aspiration à se sentir exister à tout prix.
Par le biais d’une jolie plume qui se veut tantôt acérée pour ajouter un touche de noirceur, tantôt poétique pour insuffler une nuée d’optimisme, Aurélie Lesage évoque les sombres défis entre adolescents que la surenchère peut faire basculer dans la violence pernicieuse. Mais plus que la mise au pilori de ces dérives, elle dépeint l’hypersensibilité et ses méandres périlleux, quelquefois heureux, parfois dangereux, bien souvent tortueux. “Alice aux petites balles perdues” est un titre détonnant pour un livre attachant dans lequel la pureté des pensées juvéniles se heurte à la dure réalité du monde."

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Article de Jérôme Mouchet dans "L'Echo Républicain"  :



Article de Florence Chevalier dans "Les Nouvelles"  :



Critique de Lucile sur Babelio :

Une lecture qui ne laisse pas son lecteur indifférent à la fois bouleversante, poignante et déstabilisante.
Aurélie Lesage nous plonge au coeur des pensées les plus profondes d'Alice, jeune adolescente en marge de la société qui l'entoure, atypique et mal dans sa peau. Elle a ancré au fond d'elle beaucoup de certitudes, de questions, de doutes, de peurs, de tiraillements et de rêves de grand amour. Elle n'hésitera pas à se mettre en danger au coeur d'un jeu entrainant la vie ou la mort pour se sentir paradoxalement bien en vie. Alice grandit au fil des pages et nous sommes entrainés au coeur d'une quête initiatique avec un passage entre l'enfance et l'adolescence. Différents thèmes en perspective : la quête de soi, l'identité, l'appartenance au groupe, le regard des autres, les addictions et les conduites déviantes.
La plume d'Aurélie Lesage est poétique, grandiose, superbe, parfois acérée, toujours assez noire tantôt violente mais globalement magnifique. Un style littéraire remarquable.
Ce livre dépeint la sensibilité exacerbée d'Alice qui l'entraine dans des dérives périlleuses et dans la démesure.
Une lecture déroutante qui amène à la réflexion. Beaucoup de questions restent en suspens et je reste assez décontenancée par ce roman, avec notamment cette voie intérieure qui communique avec le lecteur et que l'on n'identifie pas. N'est ce pas le signe d'un grand roman lorsqu'il suscite justement ce type de sentiment étrange? Je reconnais là une auteure au grand talent qui a su m'entrainer dans une lecture dont j'attendais les derniers mots avec une certaine impatience, une réalité dure mais plus que réelle.

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Chronique de L'éphémélire (blog littéraire) :

"Telle une funambule, elle déambule dans ce voyage initiatique..."

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Le Petit Jounal (Toulousain) - Culture


Chronique de Sophie Songe sur plusieurs sites littéraires :

"L'écriture est poétique, intellectualisée, envolée. Il y a quelque chose de mystique, on touche avec justesse un état d'âme aux portes du secret."

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Avis d'Emma sur Instagram :


Avis de tinoubooks sur Instagram :

Une lecture touchante, poignante, sombre, triste avec des moments de joie, qui relate la vie d'Alice, jeune fille perdue...

Publiée par Aurélie Lesage sur Samedi 12 décembre 2020


Avis de Naissbookmoon sur Instagram :

Waouhhhh... Un grand merci Naissbookmoon pour ce retour si jeune, si vif, si sincère, merci...

Publiée par Aurélie Lesage sur Jeudi 19 novembre 2020


Avis de melleafrdz sur instagram :

Je remercie mlleafrdz pour sa chronique sur mon livre sur Instagram. Waouhhhh.......

Publiée par Aurélie Lesage sur Jeudi 19 novembre 2020


Avis de labibliotheque d'une blonde sur instagram :


Avis sur Babelio :




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